EAU, trois lettres qui seront un jour synonyme de GLV

Publié le 02/03/2011 à 13:25, mis à jour le 02/03/2011 à 13:33

C?est du moins la vision que Richard Verreault, récemment nommé pdg pour succéder à son père Laurent, travaille à concrétiser depuis quelques années. En entrevue avec Les Affaires, l'homme d'affaires de 47 ans explique comment il compte faire de GLV un «pure play» dans le secteur de l?eau.rnRichard Verreault affiche ses ambitions?: «Nous visons à devenir un groupe reconnu mondialement comme un fournisseur de solutions, tant technologiques que de procédés, dans le traitement de l'eau.»

Fondée en 1975 pour vendre de l'équipement aux usines de pâte et papier, secteur où elle réalise encore près de 30?% de ses revenus, GLV n'est pas à une mutation près. Au début des années 1990, l'entreprise acquiert une société spécialisée dans la séparation des solides et des liquides et amorce un détour par le secteur minier. Après quelques acquisitions et une bonne croissance organique, l'aventure s?avère payante?: GLV, connue alors comme le Groupe Laperrière & Verreault, encaisse 900 millions de dollars (M$) pour ce groupe à l'automne 2007.rnRichard Verreault entend bien répéter ce succès dans le secteur de l'eau.

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