Les résultats "sont générés de manière totalement automatique, sur la base de critères purement algorithmiques correspondant notamment à la popularité des requêtes saisies par les internautes", a déclaré un porte-parole de Google.
"Google n'établit pas ces requêtes de façon manuelle - l'ensemble des requêtes affichées au sein d'Autocomplete ont été préalablement recherchées par des internautes sur Google", a-t-il dit.
Initialement fixé au 2 mai, l'examen du référé avait été reporté à mercredi 09H30 par la juge Martine Provost-Lopin.