Facebook: la Banque Royale nie les propos du New York Times

Publié le 19/12/2018 à 16:35

Facebook: la Banque Royale nie les propos du New York Times

Publié le 19/12/2018 à 16:35

Par La Presse Canadienne
Une succursale de la Banque Royale.

(Photo: 123rf.com)

La Banque Royale a démenti mercredi les informations contenues dans un article du «New York Times», selon lesquelles elle aurait pu lire, écrire et supprimer des messages d'utilisateurs sur le réseau social Facebook.

Dans son article, le quotidien new-yorkais affirme que Facebook aurait accordé à la Royale, tout comme à Spotify et Netflix, la permission de consulter les messages privés de ses utilisateurs. 

Ces affirmations s'appuyaient sur des centaines de documents internes de Facebook obtenus par le journal, qui n'ont pas été vérifiés par La Presse canadienne.

L'article du «New York Times» indique que plus de 150 entreprises ont eu accès aux informations personnelles des utilisateurs de Facebook, y compris des listes complètes d'amis et des informations de contact, sans leur permission ou à leur insu. 

La Royale affirme avoir reçu l'autorisation d'envoyer des messages aux utilisateurs de Facebook de 2013 à 2015, lorsqu'elle proposait un service d'application mobile permettant aux clients d'envoyer de l'argent à leurs amis via le réseau social. La banque dit ne pas avoir eu la possibilité de consulter les messages des utilisateurs. 

La banque a expliqué qu'elle devait pouvoir envoyer les messages pour confirmer l'identité de l'utilisateur de Facebook recevant l'argent et lui envoyer un accusé de réception pour la transaction. La banque a nié avoir eu accès aux messages privés ou avoir eu besoin d'accéder à ces messages.

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