Pour Sherry Cooper, le Canada n’est pas immunisé contre les effets secondaires de la récession aux États-Unis ainsi que contre la destruction de valeur qui résulte de la chute de cours de bourse et du recul de l’immobilier.
Certes, le système financier canadien est plus solide et les ménages plus prudents, mais la mondialisation affecte les échanges économiques notamment dans le secteur des matières premières où le précédent boom touche à sa fin.
«Notre gouvernement devrait se préparer à la récession et initier au plus tôt les mesures qui permettront d’atténuer les effets de la crise», lance Sherry Cooper.