PME: le moral des entrepreneurs québécois recule encore en mai

Publié le 26/05/2016 à 11:54

PME: le moral des entrepreneurs québécois recule encore en mai

Publié le 26/05/2016 à 11:54

Par lesaffaires.com

Photo: Shutterstock

Après avoir fortement bondi en début d’année, le moral des entrepreneurs québécois recule pour un troisième mois consécutif.

L’indice du Baromètre des affaires du Québec de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) a perdu deux points en mai pour s’établir à 60,4. Il s’agit du troisième recul mensuel consécutif.

La remontée de l’indice, en février, à un sommet depuis 2013, n’a donc pas tenu.

Les propriétaires d’entreprises québécois demeurent plus optimistes que ceux de l’ensemble du Canada, puisque l’indice du Baromètre pour le pays a reculé d’un point pour s’établir à 58,2 en mai.

Contrairement à leurs voisins québécois, les entrepreneurs ontariens ont continué de gagner en confiance au cours du dernier mois. L’indice du Baromètre pour l’Ontario a gagné trois points pour se situer à 65,8.

Embauches: la situation reste favorable

Cela dit, la FCEI souligne que les plans d’embauche des entrepreneurs québécois demeurent positifs. Ils sont 26% à envisager recruter du personnel à temps plein, contre 7% qui anticipent réduire leurs effectifs.

Ils sont 42% à estimer que leur entreprise est en bonne santé, tandis que 9% pensent l’inverse.

Enfin, les charges salariales demeurent la principale pression sur les PME (60%), suivi des coûts fiscaux et réglementaires (54%).

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.