Les Canadiens sont évidemment préoccupés par la situation économique et par leur propre bien-être financier. Quarante-et-un pour cent des personnes questionnées avaient l'intention de demander une augmentation de salaire en 2009, et 40 pour cent considéraient la possibilité de suivre une formation additionnelle ou développer une nouvelle compétence.
Le quart des répondants ont affirmé que les préoccupations économiques pourraient fort probablement les pousser à changer d'emploi. Les Québécois avaient moins envie d'aller voir ailleurs.
Ce coup de sonde a été réalisé par téléphone du 11 au 14 décembre auprès de 578 travailleurs canadiens. La marge d'erreur est 4,1 pour cent.