Nombre de gestionnaires commettent l’erreur d’aborder un problème complexe en le divisant en petites parties moins difficiles à analyser. Mais toute simplification est dangereuse et coûteuse.
En fait, le cerveau humain est capable de traiter des problèmes ardus, à condition d'utiliser une méthode adaptée au problème. Cela demande à chacun de nous de faire preuve de souplesse intellectuelle, d’être notamment prêt à réfléchir sur des solutions que l’on a tendance à écarter d’emblée, selon une étude des chercheurs Gökçe Sargut et Rita Gunther McGrath.