Montessori forme l'esprit créatif

Publié le 23/04/2011 à 00:00, mis à jour le 10/05/2011 à 15:53

Montessori forme l'esprit créatif

Publié le 23/04/2011 à 00:00, mis à jour le 10/05/2011 à 15:53

Qu'ont en commun les fondateurs de Google, Larry Page et Sergei Brin ; celui d'Amazon, Jeff Bezos ; celui de Wikipedia, Jimmy Wales ; et feu Julia Child, la célèbre auteure de livres de recettes ? Tous ont fréquenté une école Montessori.

Ces écoles offrent une méthode d'apprentissage élaborée par l'italienne Maria Montessori en 1907, fondée sur la découverte par essais-erreurs avec le moins d'évaluation possible et adaptée au rythme de chacun des enfants, dans des classes multi-âges où la collaboration est de mise. Est-ce cette méthode qui rend les finissants de Montessori surreprésentés parmi l'élite créative, demande le Wall Street Journal, qui utilise ironiquement le terme " mafia " pour qualifier le phénomène ? Deux professeurs de l'INSEAD ont sondé plus de 3 000 pdg et interviewé 500 personnes qui ont lancé des entreprises innovatrices ou inventé des produits. " Plusieurs d'entre eux avaient fréquenté une école Montessori, où ils avaient appris à suivre leur curiosité ", dit l'un des professeurs, Hal Gregersen, cité par le journal. Il y a plusieurs écoles Montessori au Québec. Mais attention : ce nom n'est pas une marque protégée. Sur le site officiel de Montessori, on encourage les parents à s'assurer que l'école qui les intéresse applique réellement la méthode et est affiliée à l'une des organisations Montessori régionales ou internationales.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.