Les évaluations à 360 degrés gagnent en popularité. De plus en plus de leaders demandent ce type d'évaluations de rendement, remarque Linda Hill, professeure spécialisée en leadership et comportement organisationnel à la Harvard Business School.
Même si certains cadres trouvent difficile de subir ces sessions d'évaluation (parfois très critiques sur leur performance), la professeure soutient qu'elles s'avèrent de bonnes occasions de développer un sentiment de confiance et de crédibilité encore plus fort.
Mme Hill rappelle toutefois que les patrons sont humains : «Si vous les faites sentir vulnérables dans des circonstances à haut risque, ils peuvent ne pas être aussi «matures» que vous le souhaiteriez.»