Cet ouvrage a influencé de nombreux décideurs. «Il s’agit d’un des premiers livres publiés de notre époque qui était vraiment axé sur la priorisation de notre façon de travailler, dont l'objectif était de nous rendre plus efficace en tant qu’individu», a dit au Washington Times Adrian Zackheim, président de la maison d’édition Portfolio, une division de Penguin Group.
Jean-Philippe Bouchard, gestionnaire de portefeuilles chez Giverny Capital, est un adepte de la philosophie de M. Covey. Il a notamment été marqué par le passage qui fait l’apologie de la proactivité.
«Notre ultime liberté en tant qu'individu réside dans l'espace créé entre ce qui nous arrive et la façon dont on choisit de réagir. On a peu de contrôle sur de nombreux éléments de la vie, par contre, on a réellement le contrôle sur trois choses: sur nos pensées, sur nos paroles et sur nos actions. Elle est là notre liberté!»