If you dont make waves youll drown

Publié le 15/10/2008 à 13:57

If you dont make waves youll drown

Publié le 15/10/2008 à 13:57

Par lesaffaires.com
Selon Dave Anderson, président et chef de la direction d'une entreprise spécialisée en formation, le gestionnaire confond trop souvent le respect et la rectitude politique. Pour ne pas déplaire aux membres de son équipe, il évite parfois des discussions nécéssaires pour maintenir un faux sentiment d'harmonie au travail. En faisant preuve d'un tel leadership, il favorise l'émergence des tricheurs au détriment des employés performants.

Pour modifier ce comportement qui mine les chances de succès de son organisation, Anderson propose dans If you don't make waves you'll drown, 10 stratégies pour diriger une équipe dans une ère « politiquement correcte ».

La première erreur à éviter, selon l'auteur, c'est de chercher des solutions populaires. Le compromis qui n'amène pas de dimension productive à long terme n'est d'aucune utilité. D'ailleurs, le dirigeant ne devrait jamais se laisser séduire pas des résultats à court terme.

En ce qui concerne ses relations de travail, il devra faire l'effort de donner du feedback et d'exprimer ses attentes à ses équipiers. Cette transparence lui permettra également d'être sensible à leurs besoins. L'objectif n'est pas de les rendre heureux, mais plutôt de les rendre meilleurs. Un travail qui, même s'il s'avère difficile, donnera assurément d'excellents résultats.

Un commentaire de Jean-François St-Pierre.

Pour acheter ce livre, cliquez ici.


À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.