Pourquoi changer le nom d'artsScène contre celui de Brigade Arts Affaires de Montréal ?
En gros, pour mieux refléter l'identité de l'organisme et sa réalité montréalaise, dit Sébastien Barangé. «Il fallait que le nom renforce cet ancrage, et que le lien entre les arts et les affaires soit clair, sans nécessiter d'explication.»
C'est Macadam, qui a déjà travaillé au renouvellement de l'image de marque de la Jeune Chambre de commerce de Montréal, qui a fait l'exercice - pas toujours facile - de trouver un nouveau nom... disponible, tant dans la réalité que sur le Web. «Ça relève de plus en plus de l'exploit», dit Guy Gagné, associé, directeur stratégie chez Macadam.
Lors d'une soirée de remue-méninges, un premier constat a fait consensus : le nouveau nom devait afficher clairement l'appartenance géographique de l'organisme, Montréal. «Le speed dating entre professionnels et artistes se passe essentiellement dans la métropole», dit Guy Gagné.