Swatch : après les montres, les bijoux

Publié le 28/02/2013 à 05:55, mis à jour le 26/02/2013 à 10:51

Swatch : après les montres, les bijoux

Publié le 28/02/2013 à 05:55, mis à jour le 26/02/2013 à 10:51

Par Olivier Schmouker

L'expansion dans la joaillerie faisait d'ailleurs partie des ambitions de Nicolas Hayek, le fondateur de Swatch. Mais le groupe suisse avait essuyé une série de revers sur ce segment, en particulier avec le rachat de l'italien Bulgari par le français LVMH.

Idem, Swatch avait tenté une percée sur le segment des montres joaillières par le biais d'un partenariat avec Tiffany & Co, qui confiait à Swatch la fabrication de ses montres. Les relations entre les deux sociétés s'étaient cependant détériorées, Nayla Hayek, la présidente de Swatch, reprochant à Tiffany & Co de ne pas faire assez d'efforts pour mettre en valeur les montres dans ses boutiques. En 2012, Swatch avait brutalement mis un terme à son contrat avec Tiffany & Co.

Swatch est connu pour ses montres en plastiques multicolores à petits prix, mais est en fait présent sur toutes les gammes de prix, depuis les montres pour enfants Flik-Flak jusqu'aux marques de prestige tels qu'Omega, la montre de James Bond, ou Breguet, dont certains modèles se vendent jusqu'à un million de francs suisses (1,1 million de dollars).

Selon les estimations de M. Chauvet, l'impact de l'acquisition de Harry Winston sur les bénéfices de Swatch devrait être limité. «Nous estimons que la transaction va accroître le bénéfice par action pour l'année 2013 d'environ 2%», prévoit-il.

(Avec AFP.)

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