Uni-Sélect : les profits grimpent de 50% malgré un recul des ventes

Publié le 15/03/2011 à 14:20, mis à jour le 15/03/2011 à 14:29

Uni-Sélect : les profits grimpent de 50% malgré un recul des ventes

Publié le 15/03/2011 à 14:20, mis à jour le 15/03/2011 à 14:29

Par La Presse Canadienne

[Photo : Uni-Select]

Le distributeur de pièces d'automobiles Uni-Sélect (TSX:UNS) a affiché mardi un bénéfice net de 10,8 millions $ pour son quatrième trimestre, ce qui représente une hausse de 50 pour cent par rapport à la même période un an plus tôt, malgré un recul de ses ventes.

La société de Boucherville a profité de cette annonce pour accroître son dividende trimestriel de trois cents, à 12 cents par action, par rapport à 11,65 cents au précédent trimestre. Le nouveau dividende sera payable le 21 avril.

Uni-Sélect a réalisé un bénéfice net de 55 cents par action au cours de la période terminée le 31 décembre. Lors du trimestre équivalent un an plus tôt, elle avait enregistré un bénéfice net de 7,2 millions $, ou 37 cents par action.

Les ventes ont diminué de deux pour cent et atteint 309,4 millions $, contre 315,6 millions $ au quatrième trimestre de l'exercice précédent.

Sur l'ensemble de l'exercice 2010, Uni-Sélect a réalisé un bénéfice net en hausse de 20 pour cent, à 46,4 millions $, ou 2,35 $ par action, comparativement à celui de 38,6 millions $, ou 1,96 $ par action, de 2009.

Les ventes se sont chiffrées à 1,3 milliard $, en baisse de six pour cent.

À la Bourse de Toronto, mardi après-midi, les actions d'Uni-Sélect valaient 28,24 $, en baisse de deux cents.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.