Porter Airlines entre en Bourse

Publié le 16/04/2010 à 15:17

Porter Airlines entre en Bourse

Publié le 16/04/2010 à 15:17

Par Olivier Schmouker

Porter entend ainsi acheter de nouveaux avions. Photo : Bloomberg.

Porter Aviation Holdings a déposé un prospectus provisoire auprès des autorités en valeurs mobilières du Canada dans le cadre d’un premier appel public à l’épargne. Aucun des actionnaires actuels de Porter ne vendra d’actions dans le cadre de cet appel public.

Le syndicat de prise ferme est dirigé par RBC Marchés des Capitaux. Il comprend aussi Financière Banque Nationale, BMO Nesbitt Burns, Marchés mondiaux CIBC, Valeurs Mobilières TD, GMP Valeurs Mobilières, Valeurs Mobilières Crédit Suisse (Canada), Raymond James et Les Partenaires Versant.

Porter a l’intention d’affecter le produit net du placement proposé au fonds de roulement et aux autres besoins généraux de l’entreprise. Parmi ces derniers, la direction Porter indique qu’elle envisage «l’acquisition d’avions».

Porter est entrée en exploitation en octobre 2006 avec deux avions. Son parc actuel est composé de 18 avions, deux autres devant lui être livrés ce mois-ci.

La compagnie aérienne dessert actuellement les villes de Toronto, d’Ottawa, de Montréal, de Québec, de Halifax, de St. John’s, de Thunder Bay, de Sudbury, de New York (Newark), de Chicago (Midway) et de Boston (Logan) et offre des vols en saison à Mont-Tremblant, au Québec, et à Myrtle Beach, en Caroline du Sud. Sa liaison de Moncton doit débuter le 25 juin prochain.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.