Automobile : la faillite serait une option

Publié le 18/12/2008 à 00:00

Automobile : la faillite serait une option

Publié le 18/12/2008 à 00:00

Selon le New York Times, la mise en faillite ne serait prononcée immédiatement mais après quelques mois d’opération soutenus dans un premier temps par les crédits de Washington.

Cette mise en faillite ne serait pas un refus d’aider le secteur mais une procédure jugée plus efficace dans le cadre de l’aide d’un plan d’aide au secteur. Les entreprises ainsi protégées de leurs créanciers auraient de meilleures chances de retomber sur leur pieds que si elles opèrent dans le cadre juridique régulier.

L’inconvénient de cette procédure est qu’elle implique des négociations avec les syndicats et autre partenaires, rendant sa mise en œuvre plus complexe.

Ce seraient surtout General Motors et Chrysler qui seraient concernées, Ford disposant de meilleures ressources pour parer à la crise sans l’aide de l’État.

Quelle que soit la décision, elle sera annoncée rapidement, a indiqué à Associated Press le porte-parole de la Maison-Blanche, Dan Perino.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.