L'institution a en effet subi l'incidence d'une charge au titre de la dépréciation de l'écart d'acquisition d'un milliard $. Les résultats ont également été touchés par des pertes liées au contexte du marché.
La plus importante banque du pays a ainsi présenté une perte nette de 50 millions $, ou sept cents par action. Au deuxième trimestre de 2008, elle avait enregistré un bénéfice net de 928 millions $ ou 70 cents par action.
La Banque Royale a souligné qu'elle avait généré une croissance des volumes dans tous les secteurs d'activité et élargi son réseau de succursales. Le président et chef de la direction Gordon M. Nixon a déclaré que le contexte demeurait difficile. Il a cependant ajouté que la Banque Royale bénéficiait de solides assises et profitait des occasions sur le marché.
La Banque Royale a déclaré un dividende trimestriel sur ses actions ordinaires de 50 cents par action.
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