Le bénéfice de la Banque HSBC Canada recule au 2e trimestre

Publié le 03/08/2015 à 13:48

Le bénéfice de la Banque HSBC Canada recule au 2e trimestre

Publié le 03/08/2015 à 13:48

Par La Presse Canadienne

(Photo: Bloomberg)

Le bénéfice de la filiale canadienne de la Banque HSBC a retraité de 6,4% au deuxième trimestre clos le 30 juin, par rapport à la même période en 2014.

La banque a attribué la plus grande partie du déclin trimestriel à une compression des marges, à de plus faibles gains sur investissements financiers et à une hausse de ses coûts. 

Le bénéfice attribuable aux actionnaires ordinaires a atteint 161 millions $ pour le trimestre, en baisse par rapport à celui de 172 millions $ de la même période l'an dernier. 

Le rendement sur l'avoir des actionnaires s'est chiffré à 14%, comparativement à 15,6% au deuxième trimestre de l'an dernier. 

Dans un communiqué, la présidente et chef de la direction de Banque HSBC Canada, Sandra Stuart, a indiqué que l'entreprise se concentrait sur la croissance de ses activités au Canada, mais qu'elle s'attendait à devoir continuer de composer avec certaines préoccupations, notamment la pression dans le secteur pétrolier et la faiblesse des taux d'intérêt. 

Sa société mère, HSBC Holdings, la plus grande banque britannique au chapitre de la valeur boursière, a annoncé plus tôt cette année qu'elle supprimerait entre 22 000 et 25 000 emplois à travers le monde pour tenter de réduire ses coûts et de se concentrer davantage sur les économies asiatiques, qui connaissent de rapides croissances.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.