La Caisse a vendu ses participations dans Rogers, Manuvie et Royal Dutsh Shell

Publié le 14/02/2011 à 15:48, mis à jour le 14/02/2011 à 17:10

La Caisse a vendu ses participations dans Rogers, Manuvie et Royal Dutsh Shell

Publié le 14/02/2011 à 15:48, mis à jour le 14/02/2011 à 17:10

Par La Presse Canadienne

[Photo : LesAffaires.com]

La Caisse de dépôt et placement du Québec s'est départie de ses participations dans deux poids lourds de la Bourse canadienne, Rogers Communications (TSX:RCI.B) et la Financière Manuvie (TSX:MFC), au cours du dernier trimestre de 2010.

Selon des rapports déposés auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis, la Caisse possédait à la fin septembre 2,04 millions d'actions de Rogers, d'une valeur de 76,4 millions $ US. Le 31 décembre, il n'en restait plus rien.

Même scénario pour Manuvie. À la fin septembre, la Caisse détenait 9,7 millions d'actions de l'assureur torontois, qui valaient 122,2 millions $. Le 31 décembre, cette position ne figurait plus à son portefeuille.

En revanche, la Caisse a acquis 34,7 millions d'actions du distributeur de gaz naturel Enbridge, soit 9,2 pour cent du total, une affaire de près de 2 milliards $. Elle est également revenue au capital de la Banque Toronto-Dominion en achetant 3,82 millions d'actions qui valaient 285,2 millions $ US au 31 décembre.

La Caisse a en outre acquis des actions de General Motors, qui est revenu en Bourse l'automne dernier. Sa participation dans le constructeur automobile valait 20,1 millions $ US à la fin décembre.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.