Selon Bloomberg, les investisseurs constatent que l’échec de la transaction permettrait aux banques d’éviter des amortissements potentiels résultant du financement de la deuxième plus importante acquisition par emprunt au monde.
Le rapport de KPMG «soulage toutes les institutions financières qui se sont engagées à financer la transaction il y a si longtemps», explique Michael Smedley, gestionnaire chez Morgan Meighen & Associates à Toronto.
Citigroup. Toronto-Dominion, Deutsche Bank et Royal Bank of Scotland sont engagées à hauteur d’environ 34 milliards de dollars dans le financement de l’acquisition de BCE.