Au troisième trimestre 2007, son bénéfice net avait été de 2,17 milliards, ou 0,64 dollar par action. La banque avait enregistré un bénéfice net de 1,75 milliard, ou 0,53 dollar par action, au deuxième trimestre 2008.
Wells Fargo avait déjà annoncé des charges de 646 millions de dollars, ou 0,13 dollar par action, pour des investissements dans Fannie Mae, Freddie Mac et Lehman Brothers. Elle souligne que ses revenus sont malgré tout en hausse de 5% par rapport à l’an dernier.
Par contre, la qualité de ses actifs se trouve dépréciée.
Le pourcentage des réductions de valeur de ses actifs sur la valeur moyenne de l’ensemble des prêts est passé de 1,01% au troisième trimestre 2007 à 1,96% en 2008. Ce pourcentage a aussi augmenté depuis le deuxième trimestre (1,55%).
«Malgré les changements dramatiques dans notre industrie et économie, l’équipe de Wells Fargo a relevé le défi ce trimestre et accompli une solide croissance des prêts et des dépôts», soutient le président et chef de la direction, John Stumpf.
Il se dit confiant que Wells Fargo complétera sa fusion avec Wachovia d’ici la fin de l’année.
«L’union de nos deux entreprises fournira une valeur convaincante pour tous nos actionnaires… combinant le meilleur de l’industrie au niveau du service et le meilleur en termes de ventes, une combinaison imbattable», explique M. Stumpf.
Le titre de Wells Fargo est en hausse de 2,30% mercredi à 34,29 dollars américains, une hausse de 0,77 dollar.
Baisse du bénéfice net pour Wells Fargo
Publié le 15/10/2008 à 00:00
À suivre dans cette section
dernières nouvelles
plus lus
À la une
Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale
Mis à jour le 18/06/2024
|
REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.
Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada
18/06/2024
|
Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.
Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%
18/06/2024
|
L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.
