La Chaire admet toutefois ne pas connaître les coûts d'une nationalisation potentielle de l'exploitation pétrolière et gazière au Québec et au Canada.
«Ça dépend si on rachète à la valeur comptable ou à la valeur du marché», précise Marc Hasbani, chercheur à la Chaire. Il ajoute que peut importe le coût «ça ne peut qu’être rentable», en donnant l’exemple de la Norvège.
Celle-ci s’est dotée d’un Fonds des générations payé par la vente du pétrole qui atteint 400 milliards de dollars et qui pourrait atteindre 1000 milliards d’ici dix ans, soutient la Chaire en citant le New York Times.
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