Des anticipations de baisse de la demande d’énergie en raison d’un ralentissement de l’économie mondiale sont à l’origine de cette baisse.
Les contrats à terme se sont échangés à 99,99 dollars américains en cours de journée. Ils ont effacé presque le tiers de leur valeur depuis leur sommet de 147,27 dollars atteint le 11 juillet.
À 14H56 à New York, le baril était à 100,2 dollars, en baisse de 0,67 dollar.
Les spéculateurs ont haussé les épaules devant les prévisions selon lesquelles l’ouragan Ike frapperait la côte du Texas, la décision de l’Opep de réduire sa production et le déclin des inventaires aux Etats-Unis.
«Ce marché marche définitivement sur un rythme différent de celui sur lequel il avançait avant», a expliqué à Bloomberg, Peter Beutel, président du consultant en énergie Cameron Hanover.
«Il n’est plus autant intéressé par les inventaires qu’avant. Il s’intéresse à la demande», a-t-il précisé.
À Londres, le brut pour livraison en octobre a baissé de 1,15 dollar, ou 1,2%, à 96,49 dollars le baril. Il avait fermé à 98,97 dollars le 10 septembre, la première fois qu'il se retrouvait sous les 100 dollars depuis le 24 mars.
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