La hausse vient de l’Angola, de l’Iran et de l’Arabie saoudite, partiellement compensée par une réduction du côté du Nigeria, dont certains sites pétroliers ont été attaqués par des milices locales.
Dans son rapport, l’OPEP affirme que la demande mondiale pour le pétrole demeurera faible cette année et reculera de 1,6 million de barils par jour par rapport à 2008. L’organisme prévoit un rebond de l’ordre de 500 000 barils par jour en 2010.
Le prix du baril de pétrole brut pour livraison en juillet a terminé la journée sur une baisse de 24 cents à 59,45 dollars américains le baril au New York Mercantile Exchange (Nymex).