Barrick Gold en discussion avec China Gold sur des actifs en Afrique

Publié le 16/08/2012 à 09:38

Barrick Gold en discussion avec China Gold sur des actifs en Afrique

Publié le 16/08/2012 à 09:38

Par AFP

[Photo : Bloomberg]

Le producteur d'or canadien Barrick Gold, numéro un mondial, a indiqué jeudi avoir engagé des "discussions préliminaires" avec le groupe public chinois China Gold sur la cession éventuelle de ses parts dans African Barrick Gold (ABG).

ABG, dans lequel Barrick détient 73,9% du capital, contrôle quatre mines d'or dans le nord de la Tanzanie. C'est l'un des cinq principaux producteurs d'or en Afrique.

Les discussions avec le groupe chinois ne font que commencer "et il n'est pas certain qu'elles débouchent sur l'acquisition de tout ou partie des parts détenues par Barrick dans ABG", précise le groupe canadien dans un communiqué publié à la suite de "spéculations récentes dans la presse".

Barrick explique que ces pourparlers s'inscrivent dans la stratégie annoncée avec ses résultats du 2e trimestre 2012 et visant à "optimiser son portefeuille d'actifs et porter au maximum le retour sur l'investissement".

Barrick qui a annoncé le 26 juillet un bénéfice en baisse pour le 2e trimestre, nettement inférieur aux prévisions des analystes, s'était séparé en juin de son directeur général Aaron Regent, invoquant le prix décevant de l'action du groupe.

Les discussions avec le groupe chinois apparaissent faire partie des mesures prises par son successeur Jamie Sokalsky pour remonter la pente.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.