Conrad Black ne peut revenir au Canada

Publié le 23/07/2010 à 14:33, mis à jour le 23/07/2010 à 15:20

Conrad Black ne peut revenir au Canada

Publié le 23/07/2010 à 14:33, mis à jour le 23/07/2010 à 15:20

Par lesaffaires.com

Conrad Black et son épouse Barbara Amiel. Photo : Bloomberg

L'ex-président de Hollinger International, Conrad Black, reconnu coupable de fraude, est libre, mais ne peut rentrer au Canada.

Conrad Black, 65 ans, comparaissait en cour à Chicago cet après-midi, pour entendre la juge qui l'avait envoyé en prison il y a trois ans se prononcer au sujet des conditions de sa remise en liberté.

PLUS : Justice : Conrad Black est toujours en guerre

La juge Amy St. Eve a dit vouloir plus de détails de la part des avocats de Lord Black avant de statuer sur sa demande de pouvoir revenir au Canada où il a une résidence à Toronto.

Il y a trois ans, Black avait été déclaré coupable d'accusations de fraude et d'entrave à la justice, avant d'être condamné à une peine d'emprisonnement de six ans et demi. Il a purgé sa peine dans une prison fédérale de la Floride.

Mercredi, la juge St. Eve a accordé la liberté à Black contre un cautionnement de 2 millions $ US. Black doit toutefois demeurer à Chicago, la juge ayant rejeté la requête qu'il avait déposée pour avoir le droit de retourner à Toronto. La magistrate avait fait valoir qu'elle devait d'abord examiner la situation financière de Black avant d'envisager toute modification des conditions de libération.

La prochaine comparution de Conrad Black devant la cour aura lieu le 16 août prochain.

 

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.