Immobilier: les prix baissent à Montréal

Publié le 05/10/2011 à 12:05, mis à jour le 05/10/2011 à 13:17

Immobilier: les prix baissent à Montréal

Publié le 05/10/2011 à 12:05, mis à jour le 05/10/2011 à 13:17

L'exception des condos

Pour le moment, seul le marché des condos semble maintenir sa tendance des dernières années. Le prix de vente moyen au troisième trimestre est non seulement supérieur à ce qu'il était il y a un an, mais également par rapport à ce qu'il était au trimestre précédent.

Ainsi, par exemple, un condo se vendait au prix moyen de 236 333$ au troisième trimestre. C'est 7,6% de plus que le prix de 219 639$ d'un an plus tôt, mais également 3,78% au dessus du prix moyen du deuxième trimestre (227 722$).

Aucun quartier de Montréal ou ville de sa banlieue ne fait exception à cette tendance particulière aux condos. « Ceci peut être expliqué par la présence accrue des premiers acheteurs principalement à la recherche de propriétés plus abordables», affirme Dominic St-Pierre, directeur des services immobiliers Royal LePage pour la région du Québec.

Inventaire en hausse

Selon les statistiques de la fin août, l’inventaire est en hausse de 12,8 % par rapport à l’année dernière. Selon Royal Lepage, il y a présentement environ 10 000 propriétés à vendre à Montréal.

On constate une augmentation de 22% de l’inventaire des condominiums. À Laval seulement, l’inventaire d’appartements en copropriété a explosé, avec une augmentation de 24,2%. 

Plus:  «Un excès de 20 à 25% sur le prix des maisons», dit Jarislowsky

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.