Le ministre Pierre Fitzgibbon a hâte à la fin du télétravail obligatoire

Publié le 07/02/2022 à 12:20

Le ministre Pierre Fitzgibbon a hâte à la fin du télétravail obligatoire

Publié le 07/02/2022 à 12:20

Par La Presse Canadienne

«Je pense qu’on va arriver à ça bientôt.» a-t-il ajouté. (Photo: La Presse Canadienne)

Pressé par les représentants des employeurs à mettre fin à l’obligation du télétravail, le gouvernement Legault devrait être en mesure de le faire «bientôt», a indiqué lundi le ministre de l’Économie, Pierre Fitzgibbon. 

«C’est sûr qu’on veut travailler sur une fameuse cédule (sic) de prévisibilité», a dit le ministre lors d’une conférence portant sur le dévoilement de la mise à jour de la stratégie de l’aérospatial, lundi matin. «On en parle beaucoup.»

Pierre Fitzgibbon a précisé que le premier ministre, François Legault, le ministre de la Santé, Christian Dubé, et le directeur de la santé publique, Luc Boileau, partageaient cette opinion. «Il est clair que je veux le plus rapidement possible permettre aux entreprises d’avoir du travail en présentiel et de laisser aux entreprises la gestion sanitaire des règles, qui ont été établies. Je pense qu’on va arriver à ça bientôt.» 

Il reviendra aux employeurs de décider la part qu’occupera le télétravail dans la façon dont ils réaménageront leur bureau, a-t-il ajouté. Le ministre note que de nombreux employés ne seront pas nécessairement à l’aise à revenir dans les mêmes conditions qu’avant la pandémie et que cela pourrait représenter un enjeu de rétention de main-d’œuvre pour les employeurs.

 

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.