Le financement des services publics
«Nous croyons que les services publics doivent être majoritairement financés par l’impôt sur le revenu et non par la logique utilisateur-payeur. C’est la meilleure façon de s’assurer que tout le monde paie sa juste part et que les familles moins nanties ne soient pas pénalisées. En matière de santé, il n’y a pas eu de tergiversations sur la question et il n’y en aura pas : un gouvernement du Parti Québécois abolira la taxe santé pour redonner 400 $ aux familles de la classe moyenne.»
L’assurance-emploi
«Le rapatriement du régime d’assurance-emploi relève de l’urgence nationale. Au cours des dernières années, le gouvernement conservateur a non seulement refusé les bonifications proposées majoritairement par les parlementaires fédéraux à l’initiative du Bloc Québécois, mais en plus, il a imposé de nouvelles contraintes aux prestataires d’assurance-emploi. La proposition de rapatrier le régime d’assurance-emploi sert les intérêts des Québécois : nous ne devons rien attendre d’un gouvernement rétrograde qui s’attaque à nos gens au moment où ils sont le plus vulnérables.»
«Le Parti Québécois s’engage à négocier avec Ottawa le rapatriement du programme d’assurance-emploi et à créer une caisse autonome afin de s’assurer que l’argent des cotisants ne serve qu’à l’assurance-emploi. Notre régime d’assurance-emploi sera plus accessible, plus humain, plus équitable. Voilà ce que signifie pour le Parti Québécois s’affirmer, s’enrichir et s’entraider. C’est le choix que nous faisons, celui d’un Québec plus fort, plus beau, plus solidaire.»