Ubisoft rapporte 280 M$ à Québec

Publié le 01/06/2010 à 11:53

Ubisoft rapporte 280 M$ à Québec

Publié le 01/06/2010 à 11:53

Par Olivier Schmouker

Le dernier opus de Prince of Persia est né à Québec. Photo : DR.

Cinq années après son implantation à Québec, Ubisoft et ses 255 employés auraient rapporté «plus de 280 millions de dollars» à Québec en termes de retombées économiques. C’est du moins ce qu’avance la direction d’Ubisoft Québec, en basant son calcul sur le modèle de l'ISQ adapté par HEC Montréal.

«Ubisoft Québec est devenu un studio qui assure la direction de créations authentiques et qui développe des licences ici, à Québec», dit Nicolas Rioux, vice-président et directeur général, d'Ubisoft Québec, en point de presse.

Ainsi, c’est à Québec qu’est né le jeu vidéo «Prince of Persia : The Forgotten Sands», «qui connaît déjà un vif succès auprès des critiques», ou encore «Combat of Giants», «une autre création originale qui fait la fierté de notre entreprise». Jusqu’à présent, 77 millions de dollars ont été investis à Québec, si bien que l'impact économique attribuable à la présence d'Ubisoft à Québec s'élèverait à plus de 280 millions en retombées.

Le nouveau projet d’Ubisoft Québec consiste à acquérir un quatrième étage dans l’édifice où il se trouve déjà, situé à l'angle du boulevard Charest et de la rue de la Couronne. «Cette expansion nous permettra d'offrir un meilleur univers de création à nos employés. Il nous permettra aussi de développer notre laboratoire de jeux dans lequel nous testerons nos créations auprès du public», précise M. Rioux.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.