Rio Tinto Alcan injectera 500 000 dollars dans un nouveau partenariat de recherche avec le consortium Ouranos, visant à mieux connaître l'impact des changements climatiques sur le bassin du lac Saint-Jean dans les années à venir.
«En devenant le premier partenaire de recherche privé affilié, Rio Tinto Alcan démontre toute l'importance de la collaboration entre les organismes publics et l'entreprise privée. Il souligne également l'engagement de Rio Tinto Alcan envers la recherche sur les changements climatiques au Québec et les impacts futurs de ces changements sur la gestion hydrique», a déclaré Étienne Jacques, vice-président, Métal primaire - Saguenay-Lac-Saint-Jean, chez Rio Tinto Alcan.
«Cette collaboration contribuera entre autres à établir un portrait du climat régional futur sur le bassin du lac Saint-Jean. Ces projets de recherche ont tous pour objet de mieux comprendre l'impact des changements climatiques sur les opérations de gestion des ressources hydriques chez Rio Tinto Alcan», a-t-il ajouté.
Ces projets de recherche sur l'impact des changements climatiques seront sous la responsabilité conjointe du consortium sur la climatologie régionale et l'adaptation aux changements climatiques Ouranos et des spécialistes en hydrologie de Rio Tinto Alcan.
«Par ces nouveaux partenariats, Rio Tinto Alcan et le groupe Énergie électrique confirment leur volonté de poursuivre la recherche sur l'adaptation aux changements climatiques au Québec et au Canada. Ces projets contribueront directement à consolider notre position de leader en matière de gestion hydrique et à améliorer nos processus de prévisions hydrologiques à court et à long terme», a ajouté Serge Bouchard, directeur de la division Énergie électrique, chez Rio Tinto Alcan.
Ouranos est une organisation de recherche sans but lucratif sur la climatologie régionale et l'adaptation aux changements climatiques. Il s'agit d'une initiative conjointe du gouvernement du Québec, d'Hydro-Québec, d'Environnement Canada, de l'Université du Québec à Montréal (UQAM), de l'Université Laval, de l'Université McGill et de l'Institut national de la recherche scientifique.
Source : Rio Tinto Alcan
