Montréal veut bannir tous les sacs de plastique dès cette année

Publié le 05/02/2020 à 15:40

Montréal veut bannir tous les sacs de plastique dès cette année

Publié le 05/02/2020 à 15:40

Par La Presse Canadienne
Un homme tenant un sac de plastique.

(Photo: La Presse canadienne)

Montréal compte interdire totalement les sacs de plastique sur son territoire dès cette année, a annoncé mercredi la mairesse Valérie Plante.

Lors d’une séance du conseil municipal, Mme Plante a expliqué que la Ville avait d’abord tenté de changer l’épaisseur du plastique des sacs «en pensant que les gens allaient les réutiliser, (mais) ça ne fonctionne pas».

«Il faut réduire à la source, et ça, ça passe par des changements de comportements», a−t−elle affirmé.

Elle a demandé au directeur général de la Ville de modifier le règlement présentement en vigueur concernant l’épaisseur des sacs pour en arriver à une interdiction complète des sacs de plastique sur le territoire de Montréal. 

«Ça doit se faire en 2020», a dit Mme Plante.

La mairesse a ajouté que la métropole a, selon elle, un «rôle de leader».

«On peut sensibiliser (et) influencer, a−t−elle lancé. Toutes les municipalités du Québec devraient emboîter le pas. Ce n’est pas ça qui va tout régler, mais c’est un geste concret.» 

Dans un communiqué, la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante a demandé à la Ville de bien mesurer «les impacts économiques, environnementaux et logistiques» d’un tel changement en menant d’abord «un projet pilote dans un arrondissement défini».

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.