La chancelière allemande Angela Merkel "ne croit pas que les euro-obligations nous aideraient aujourd'hui", a-t-elle déclaré à l'issue de son entretien avec le président Nicolas Sarkozy.
Ce dernier a jugé pour sa part que ces euro-obligations mettraient "gravement en danger" les pays les mieux notés et ne pouvaient être que l'"aboutissement d'un processus d'intégration".
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