Ligne 5: Enbridge dit toujours vouloir négocier malgré le retrait du Michigan

Publié le 01/10/2021 à 13:02

Ligne 5: Enbridge dit toujours vouloir négocier malgré le retrait du Michigan

Publié le 01/10/2021 à 13:02

Par La Presse Canadienne

La société a clairement fait savoir qu’elle n’avait pas l’intention de le fermer volontairement. (Photo: La Presse Canadienne)

Washington — Enbridge souhaite toujours négocier une entente au sujet de sa ligne 5, même si l’État du Michigan s’est retiré des discussions.

L’entreprise albertaine dit que toutes les parties ont l’obligation de négocier de bonne foi pour régler cette longue dispute concernant cet important élément du lien transfrontalier de l’approvisionnement en pétrole.

Selon des documents juridiques, le Michigan a abandonné le processus, affirmant n’avoir « aucune volonté » de poursuivre la médiation.

Le statut de ces discussions demeure imprécis. Le mois dernier, une juge américaine, Janet Neff, a décrit que la médiation en était arrivée « à un point mort ».

La dispute entre Enbridge et le Michigan s’est amorcée en novembre lorsque la gouverneure Gretchen Whitmer a révoqué unilatéralement la servitude qui permettait à la société canadienne d’utiliser depuis 1953 le détroit de Mackinac entre les lacs Michigan et Huron.

Mme Whitmer avait invoqué le risque d’un déversement dans le détroit pour justifier sa décision.

Enbridge assure que le pipeline est sécuritaire. La société a clairement fait savoir qu’elle n’avait pas l’intention de le fermer volontairement.

 

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.