Les ventes des grossistes canadiens ont grimpé de 4,2% en janvier

Publié le 16/03/2022 à 12:28

Les ventes des grossistes canadiens ont grimpé de 4,2% en janvier

Publié le 16/03/2022 à 12:28

Par La Presse Canadienne

Les ventes du sous-secteur des véhicules automobiles et de leurs pièces ont reculé de 5,8% à 11,1 G$ en janvier. (Photo: La Presse Canadienne)

Les ventes des grossistes ont progressé de 4,2% pour atteindre 79,8 milliards de dollars (G$) en janvier, soutenues par les gains des ventes de matériaux et fournitures de construction, d’articles personnels et ménagers, ainsi que de machines, de matériel et de fournitures, a indiqué mercredi Statistique Canada.

Il s’agissait d’un sixième mois consécutif de hausse pour le commerce de gros. Les ventes de cinq des sept sous-secteurs étudiés par l’agence fédérale ont progressé en janvier.

Les ventes de matériaux et fournitures de construction ont progressé de 14,0% à 14,1 G$, tandis que les exportations de bois d’œuvre et de produits de scierie ont affiché une croissance de 16,3 % et que celles des matériaux en plastique et en mousse pour les bâtiments et pour la construction se sont accrues de 20,1 %.

Les ventes d’articles personnels et ménagers ont grimpé de 10,6% à 12,2 G$, pendant que celles de machines, de matériel et de fournitures ont gagné 6,6% à 16,8 G$.

Les ventes du sous-secteur des véhicules automobiles et de leurs pièces ont reculé de 5,8% à 11,1 G$ en janvier.

Exprimées en volumes, les ventes des grossistes ont avancé de 3,8% en janvier.

 

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.