Fusions: les dirigeants canadiens sont plus optimistes que la moyenne

Publié le 24/02/2012 à 09:19

Fusions: les dirigeants canadiens sont plus optimistes que la moyenne

Publié le 24/02/2012 à 09:19

Par La Presse Canadienne

Le ralentissement économique n'empêche pas les chefs de la direction canadiens de considérer les fusions et les acquisitions comme une stratégie de croissance efficace, alors que s'accentue leur désir de prendre de l'expansion à l'étranger, révèle la 15e enquête mondiale annuelle de PwC auprès des chefs de la direction.

Cette enquête rendue publique vendredi compare les points de vue de 130 chefs de la direction au Canada à ceux de leurs homologues aux quatre coins du globe.

Parmi les chefs de la direction canadiens interrogés, un sur quatre prévoit réaliser des fusions et des acquisitions cette année, par rapport à une moyenne mondiale de 12 pour cent seulement parmi les 1258 dirigeants interrogés.

Parmi les chefs de la direction dont l'entreprise exerce des activités en Europe occidentale, 71 pour cent s'attendent à un accroissement de leurs activités en 2012, tandis que seulement 36 pour cent de leurs pairs à l'échelle mondiale ont exprimé une telle confiance.

L'enquête révèle également que les chefs de la direction canadiens restent préoccupés par la situation macroéconomique mondiale : seuls 13 pour cent d'entre eux se montrent optimistes quant à la possibilité d'une reprise économique mondiale. Ils craignent en particulier la menace du protectionnisme ainsi que de la volatilité persistante du cours du change et du marché des actions.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.