Fermier de famille: Équiterre poursuit le travail

Publié le 30/03/2009 à 14:32

Fermier de famille: Équiterre poursuit le travail

Publié le 30/03/2009 à 14:32

Par lesaffaires.com

Avec l'arrivée du printemps, les cultivateurs québécois sont déjà à l'oeuvre. Équiterre propose d'acheter leurs carottes qui goûtent les carottes et de réduire l'empreinte écologique du transport des fruits et légumes.

Le moyen: le réseau dit d'«agriculture soutenue par la communauté» (ASC). L'approche est la suivante : le consommateur s'engage d'avance auprès de l'agriculteur à acheter une part de sa récolte, qui lui sera régulièrement livrée au courant de l'été et à l'automne. Les formules varient. Le consommateur peut, par exemple, acheter entre 6 et 12 variétés de légumes pour une période allant de 12 à 22 semaines. Il lui est également possible, dans certains endroits du Québec, d'acheter des viandes d'élevage.

«L'agriculture soutenue par la communauté est un commerce direct qui permet aux fermes, souvent de petite taille, de bénéficier de 100% du montant investi par les citoyens, et ainsi, de créer ou de conserver des emplois en agriculture. Lorsque les citoyens deviennent partenaires d'une ferme du réseau, ils s'assurent de recevoir des aliments 100% savoureux, locaux et exempts de pesticides. En ASC, les produits sont récoltés la journée même ou la veille de la livraison; ils ont donc un goût incomparable car ils sont récoltés à maturité», indique Équiterre qui se fait en quelque sorte le courtier entre consommateurs et agriculteurs.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.