Détention d'actions: PKP et Legault croisent le fer sur Twitter

Publié le 30/10/2014 à 16:40

Détention d'actions: PKP et Legault croisent le fer sur Twitter

Publié le 30/10/2014 à 16:40

Par Les Affaires

Une petite passe d'armes s'est produite en cours de journée, jeudi, sur Twitter, entre le député de Saint-Jérôme, Pierre Karl Péladeau et le chef caquiste François Legault.

Monsieur Péladeau a mis en ligne un article contenant une déclaration du président de Bombardier, Pierre Beaudoin, sur la coupe de 20% du gouvernement Couillard dans les crédits d'impôt. À l'intérieur de cet article, le patron de l'avionneur indiquait que les coupes «dérangeaient» la société et que celle-ci avait plaidé pour leur rétablissement. «C'est certain que lorsqu'on que l'on investit (…) et que nous voulons être concurrentiels, il faut évaluer les meilleurs endroits pour réaliser le travail», a-t-il notamment commenté.

Monsieur Péladeau, à qui certains reprochent d'avoir plaidé pour le rétablissement des crédits d'impôt alors que Québecor en bénéficie, a commenté l'article de la façon suivante: «Qui peut en parler? François Legault a-t-il des actions de Bombardier dans son portefeuille? Bonnardel? Caire?».

Monsieur Legault a un peu plus tard répliqué: «Lorsque je suis arrivé en politique en 1998, j'ai vendu toutes mes actions d'entreprises et j'ai acheté des obligations du Québec».

Rappelons que monsieur Legault est à l’origine de la motion présentée à l’Assemblée nationale demandant à Pierre Karl Péladeau de se départir de ses actions de Québecor.

 

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.