T2 : Quincaillerie Richelieu manque la cible

Publié le 07/07/2011 à 13:30

T2 : Quincaillerie Richelieu manque la cible

Publié le 07/07/2011 à 13:30

Par lesaffaires.com

Les résultats du deuxième trimestre de Quincaillerie Richelieu manquent la cible des analystes alors que l’entreprise n’a pas réussi à se mesurer au deuxième trimestre de l’an dernier.

Le profit par action est de 47 cents. Les trois analystes interrogés par Bloomberg anticipaient un profit par action de 58 cents. Bloomberg n’a pas recensé les prévisions pour les revenus.

Au deuxième trimestre, les revenus s’établissent à 139 millions en hausse de 18% par rapport à la même période l’an dernier. Le bénéfice net recule de 13% à 10 millions. Le BAIIA s’est élevé à 17,2 millions, en baisse de 8,4%.

«Rappelons que les résultats du trimestre correspondant de 2010 avaient bénéficié de conditions exceptionnellement favorables et que certaines de nos récentes acquisitions réalisent présentement des marges plus basses que celles de Richelieu compte tenu de leurs mix de produits différents. L'intégration de ces acquisitions se réalise efficacement en mettant l'accent sur la rentabilité et la création de synergies de ventes », explique dans un communiqué Richard Lord, pdg de Richelieu.

La société a aussi annoncé le départ de son chef de la direction financière, Alain Giasson. Celui-ci demeurera en poste jusqu’à la nomination de son successeur. M. Giasson dit vouloir relever d’autres défis.

Le dividende trimestriel est maintenu à 11 cents.

 

 

 

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.