Rona réduit sa perte à 13 M$ au premier trimestre

Publié le 09/05/2012 à 11:59

Rona réduit sa perte à 13 M$ au premier trimestre

Publié le 09/05/2012 à 11:59

Par La Presse Canadienne

Le détaillant Rona (TSX:RON) a indiqué mercredi que sa perte nette a fondu de 23 pour cent au premier trimestre, à 13,3 millions $ ou 10 cents par action, comparativement à 17,6 millions $ ou 13 cents par action l'an dernier.

Les produits consolidés pour le premier trimestre de 2012 ont atteint 934,9 millions $, en hausse de 16,7 millions $ ou 1,8 pour cent. La hausse est attribuée à l'ouverture, en 2011, de nouveaux magasins dans le secteur du détail et de nouveaux points de vente dans la Division du marché commercial et professionnel.

La hausse est également attribuée à la croissance des ventes dans le secteur de la distribution à la suite du recrutement de nouveaux marchands Rona et membres acheteurs, ainsi qu'à l'ouverture de nouveaux magasins par les marchands Rona existants.

Ces éléments ont été contrebalancés par une baisse de 0,8 pour cent des ventes comparables des magasins corporatifs et franchisés.

Rona est le plus important distributeur et détaillant canadien de produits de quincaillerie, de rénovation et de jardinage. L'entreprise exploite, sous diverses bannières, un réseau de près de 800 magasins corporatifs, franchisés et affiliés de dimensions et de formats variés, ainsi qu'un réseau de 14 centres de distribution en quincaillerie et matériaux de construction. Elle emploie près de 30 000 personnes dans toutes les régions du Canada.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.