Le bénéfice net de Nike se dégonfle de 30%

Publié le 24/06/2009 à 00:00

Le bénéfice net de Nike se dégonfle de 30%

Publié le 24/06/2009 à 00:00

Par Denis Lalonde
Pour le trimestre terminé le 31 mai, Nike a déclaré un bénéfice net de 341 millions de dollars américains* (70 cents par action), lui qui était de 490,5 millions de dollars (98 cents par action) à la période correspondante il y a un an.

Les revenus pour le trimestre ont totalisé 4,7 milliards de dollars, en baisse de 7% par rapport à ceux de 5,1 milliards de dollars dévoilés l’an dernier.

En excluant les éléments non récurrents, le bénéfice net de Nike se serait chiffré à 485,9 millions de dollars (99 cents par action). Sur cette base, la société a fait mieux que les prévisions des analystes. Ces derniers prévoyaient un bénéfice par action de 96 cents, selon Thomson Reuters.

La direction de Nike soutient que son carnet de commandes pour les mois de juin à novembre est de 7,8 milliards de dollars, ce qui représente une baisse de 12% comparativement à la même période l’an dernier. Par région, la baisse des commandes est de 5% aux États-Unis et en Asie-Pacifique, de 24% dans la région regroupant l’Europe, l’Afrique et le Proche-Orient, et de 7% dans le reste des Amériques.

Nike a publié ses résultats financiers après la fermeture des marchés boursiers. Le titre a clôturé la séance sur une baisse de 52 cents (0,97%) à 53,02 dollars et perdait 2,33 dollars de plus (4,4%) à 50,59 dollars dans les transactions après-Bourse.

* Tous les montants sont en dollars américains.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.