Lola, comme l'ont surnommée les médias, contestait la constitutionnalité des dispositions du Code civil du Québec. En vertu du Code civil du Québec, les conjoints de fait n'ont aucune obligation juridique l'un envers l'autre lorsque survient une rupture. La femme d'origine brésilienne voudrait que ça change.
Pour l'essentiel, Lola reçoit une pension de 36 000 dollars canadiens par mois pour la garde partagée des trois enfants qu'elle a eus avec l'homme d'affaires. Toutefois, elle désirait obtenir une pension pour elle-même (56 000 dollars par mois), de même qu'une partie du patrimoine de son ex-conjoint (50 millions de dollars).Elle désirait également acheter un hélicoptère.
Si elle avait été mariée, elle y aurait droit, avait-elle fait valoir lors du procès qui s'est déroulé au palais de justice de Montréal en janvier dernier.