La principale association indépendante de retraités de l'État au Québec demande donc la tenue d'une enquête sur les pertes de la Caisse de dépôt et placement (CDPQ) afin que les erreurs commises dans le passé ne se répètent pas à l'avenir.
Les pertes de 40 milliards de dollars « auront des conséquences non seulement sur les grands régimes de retraite du Québec, mais également sur ses principaux régimes publics d'assurance, comme ceux administrés par la SAAQ et la CSST, et sur le Fonds des générations », soutient la présidente de l'AQRP, Madelaine Michaud.
Elle ajoute que « trop de questions demeurent sans réponse » et que la commission parlementaire leur a laissé « une désagréable impression de manque de transparence organisé ».