À la lueur des derniers résultats trimestriels de Bombardier, de nombreux analystes ont revu depuis hier leurs recommandations et leurs cours cible pour le titre du fabricant d'avions et de trains montréalais.
L’analyste de UBS, Hilda Maraachlian, a abaissé son cours cible de 7$ à 6$.
Il en va de même de Cameron Doerksen, de la Financière Banque Nationale, qui a fait passer sa recommandation de «surperformance» à «performance de marché», et sa cible pour le titre de 6$ à 5,25$.
Chez Raymond James, une société de courtage parmi les plus critiques au sujet de Bombardier, l’analyste Steve Hansen réduit aussi sa recommandation à «performance du marché» et fait reculer sa cible de 5,75$ à 5$.
À la Bourse de Toronto vendredi matin, le titre de Bombardier a ouvert à 4,25$. Hier, l'action a perdu près de 10%, ou 0,45$, en une seule journée, sa pire journée en troi ans.
Au cours des cinq dernières séances, débutant le 27 février 2012, l’action de Bombardier a chuté de 0,61$, ou de 12,7%.
Au moment d’écrire c’est lignes, à 9h50, l’action de Bombardier continuait de baisser. Elle se transigeait à 4,21$, en baisse de 0,09$ ou de 2,1%.
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