Le Québec a récupéré 81% des emplois perdus; encore 193 000 postes vacants

Publié le 16/02/2022 à 10:20

Le Québec a récupéré 81% des emplois perdus; encore 193 000 postes vacants

Publié le 16/02/2022 à 10:20

Par La Presse Canadienne

La croissance de l’emploi a particulièrement profité aux hommes, aux jeunes et aux diplômés universitaires. (Photo: La Presse Canadienne)

Le Québec a récupéré 81% des emplois qu’il avait perdus en 2020. Et la croissance de l’emploi a particulièrement profité aux hommes, aux jeunes et aux diplômés universitaires.

L’Institut de la statistique du Québec (ISQ) a publié, mercredi, son État du marché du travail au Québec pour 2021, qui révèle ainsi qu’il y a eu une hausse de l’emploi de 169 400 par rapport à 2020.

À titre de comparaison, il y avait eu 208 500 emplois perdus en 2020, dans le contexte de la pandémie de la COVID-19.

À (re)lire: Le salaire horaire des hommes a augmenté davantage que celui des femmes en 2021

Par ailleurs, le nombre de postes vacants continue d’être préoccupant. Il était de 193 000 pour les neuf premiers mois de l’année 2021. Il s’agit d’une hausse de presque 50% comparativement à la même période de 2019.

Ces postes vacants se retrouvent dans la santé et l’assistance sociale, dans la fabrication, dans l’hébergement et la restauration et dans le commerce de détail.

De façon générale, dans l’ensemble du Canada, le Québec se tire somme toute bien d’affaire. Il n’a «pas été déclassé», a souligné en entrevue Luc Cloutier-Villeneuve, analyste en statistique du travail à l’ISQ.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.