Tomber amoureux vous coûtera la coquette somme de 45 125 $

Publié le 11/02/2014 à 11:55, mis à jour le 11/02/2014 à 13:09

Tomber amoureux vous coûtera la coquette somme de 45 125 $

Publié le 11/02/2014 à 11:55, mis à jour le 11/02/2014 à 13:09

Par Thomas Cottendin

Photo: Bloomberg

L'amour n'a pas de prix ? Pensez-y encore une fois. La romance avec l’élu(e) de votre coeur pourrait en effet mettre le feu à votre portefeuille. Son coût : 45 152$ !

Du premier flirt au mariage, tomber en amour coûte en moyenne 45 152$, montre une étude publiée mardi par RateSupermarket.ca, un site de comparaison des taux hypothécaires et autres instruments financiers.

Comparativement à l’an passé, le coût d’une romance est en hausse de 1 310$.

Parmi les coûts retenus, celui de l’union sacrée est le plus élevé. En moyenne, les Canadiens ont en moyenne déboursé 26 963$ pour célébrer leur mariage.

Toutefois, avant d’arriver à l’église, deux étapes s’imposent : faire la cour et se fiancer. Courtiser l’élu de son cœur a coûté en moyenne 7 495$ aux Canadiens, tandis que les fiançailles ont représenté une charge moyenne de 10 694$.

«Bien qu’on ne puisse pas mettre de prix sur une relation amoureuse, les Canadiens doivent être conscients qu’ils engageront des coûts à cause de celle-ci», écrit Penelope Graham, rédactrice du site RateSupermarket.ca.

«Ces coûts doivent être pris en compte afin de connaître leur impact sur le plan financier [des amoureux]», poursuit Penelope Graham.

L’étude se base sur les dépenses moyennes d’un flirt et d’un engagement de se marier qui dureront chacun une année ainsi que les frais liés à la lune de miel.

 

 

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.