La pandémie n’a pas eu que des effets négatifs sur la vie des ménages canadiens.
Pour nombre d’entre eux, cette période de simplicité volontaire obligée leur a permis d’économiser, ou de faire de l’épargne forcée en achetant une propriété.
Le taux d’épargne des ménages canadiens a donc fracassé un record vieux de 35 ans en 2020.
Ces nouvelles habitudes ne semblent toutefois être que ponctuelles selon Erik Johnson, économiste chez BMO Marchés des capitaux.
La vaccination de masse devrait être synonyme de dépenses autrefois déconseillées ou carrément interdites par les consignes sanitaires, comme les voyages et les soupers au restaurant.