Un planificateur financier, un investissement

Publié le 19/11/2012 à 12:10, mis à jour le 08/10/2013 à 09:01

Un planificateur financier, un investissement

Publié le 19/11/2012 à 12:10, mis à jour le 08/10/2013 à 09:01

Faire affaire avec un planificateur financier est une décision majoritairement perçue comme un investissement, révèle un sondage mené pour le compte de l'Institut québécois de planification financière (IQPF).

Ainsi, 65 % des répondants qui ont déjà fait affaire avec un planificateur financier perçoivent ce choix comme un investissement, alors que seulement 5 % l'ont perçue comme une dépense. Sans surprise, 59 % des mêmes répondants se sont dits rassurés après avoir consulté un planificateur financier.

Le sondage démontre aussi que la profession de planificateur financier est encore méconnue de la part des Québécois. En effet, même si 85 % des répondants affirment avoir déjà entendu parler de la profession, seulement 50 % perçoivent des différences entre un planificateur financier et un conseiller.

En outre, les champs d'expertise de la profession gagnent à être connus davantage, selon le sondage. « Si les expertises en placements (81 %), finances (75 %), retraite (75 %) et fiscalité (52%) sont régulièrement mentionnées, celles de l'assurance (39 %), de la succession (35 %) et des aspects légaux (31 %) sont souvent oubliées par les répondants », apprend-on dans un communiqué de l'IQPF.

Le sondage a été réalisé par Léger Marketing, du 29 au 31 octobre 2012, auprès de 1001 Québécois âgés de 18 ans ou plus.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.