Faire affaire avec un planificateur financier est une décision majoritairement perçue comme un investissement, révèle un sondage mené pour le compte de l'Institut québécois de planification financière (IQPF).
Ainsi, 65 % des répondants qui ont déjà fait affaire avec un planificateur financier perçoivent ce choix comme un investissement, alors que seulement 5 % l'ont perçue comme une dépense. Sans surprise, 59 % des mêmes répondants se sont dits rassurés après avoir consulté un planificateur financier.
Le sondage démontre aussi que la profession de planificateur financier est encore méconnue de la part des Québécois. En effet, même si 85 % des répondants affirment avoir déjà entendu parler de la profession, seulement 50 % perçoivent des différences entre un planificateur financier et un conseiller.
En outre, les champs d'expertise de la profession gagnent à être connus davantage, selon le sondage. « Si les expertises en placements (81 %), finances (75 %), retraite (75 %) et fiscalité (52%) sont régulièrement mentionnées, celles de l'assurance (39 %), de la succession (35 %) et des aspects légaux (31 %) sont souvent oubliées par les répondants », apprend-on dans un communiqué de l'IQPF.
Le sondage a été réalisé par Léger Marketing, du 29 au 31 octobre 2012, auprès de 1001 Québécois âgés de 18 ans ou plus.