Alors que les Bourses fracassent de nouveaux records, la question surgit : est-ce que ça peut durer ? La pause observée par la Fed dans la hausse du taux directeur conjuguée à de meilleures données économiques que prévu, un accord commercial imminent et des résultats financiers moins mauvais qu'anticipé ont déjà soulevé les grands indices nord-américains de 16,5 % à 22,5 % depuis le début de 2019. Le principal argument en faveur d'autres gains : la confiance modeste des investisseurs qui se reflète dans les énormes liquidités qui dorment dans les fonds monétaires, dans les retraits des fonds d'actions ou encore dans les sondages des pros. «Il y a trop d'argent en liquide», s'est exclamé Robert Michele, chef des investissements de JP Morgan Asset Management, à Bloomberg TV. L'indice mensuel d'appétit de risque de State Street, de 72,9 en avril, demeure à un plancher historique. Contrairement aux sondages, il mesure chaque mois les changements réels dans les portefeuilles représentant 15 % des actifs mondiaux négociés.
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