Votre café du matin peut vous faire gagner 55 000 $

Publié le 19/02/2013 à 11:13, mis à jour le 08/10/2013 à 07:20

Votre café du matin peut vous faire gagner 55 000 $

Publié le 19/02/2013 à 11:13, mis à jour le 08/10/2013 à 07:20

Par Olivier Schmouker

Une dépense que l'on fait sans y réfléchir... Photo: DR

Imaginez qu'au lieu de débourser 5 dollars chaque matin pour acheter votre café latté, vous économisiez cet argent. Et que l'argent ainsi mis de côté, vous le fassiez fructifier, avec un taux d'intérêt moyen de 1,5%. Au bout d'un an, vous auriez ainsi fait une économie de 1 825 dollars, sans les intérêts, et au bout de 25 ans, un gain total de 55 300 dollars, avec les intérêts.

La réduction des petites dépenses quotidiennes peut s'avérer vraiment profitable. Pour s'en assurer, il suffit de se servir de la Calculatrice des dépenses personnelles, accessible en ligne depuis le site d'Industrie Canada. Son utilisation est gratuite.

Le principe est simple. Il suffit d'entrer les dépenses que l'on effectue chaque jour, chaque semaine ou chaque mois, ainsi que les montants correspondants. La calculatrice indique alors les sommes que cela représente, sur une base hebdomadaire, mensuelle et annuelle. Puis, elle permet de découvrir combien l'on gagnerait si l'on faisait fructifier ces sommes, au fil des ans.

Des résultats qui donnent à réfléchir. Car l'on se rend vite compte à quel point toutes ces petites dépenses quotidiennes – un café, une collation, etc. –, faites sans vraiment y réfléchir, peuvent se transformer en économies conséquentes.

À la une

Bourse: records en clôture pour Nasdaq et S&P 500, Nvidia première capitalisation mondiale

Mis à jour le 18/06/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les titres de l’énergie contribuent à faire grimper le TSX.

Stellantis rappelle près de 1,2 million de véhicules aux États-Unis et au Canada

Environ 126 500 véhicules au Canada sont concernés par le rappel.

Le régulateur bancaire fédéral maintient la réserve de stabilité intérieure à 3,5%

L’endettement des ménages reste une préoccupation pour le Bureau du surintendant des institutions financières.